Je suis un misérable, je sais.
D’autant plus un misérable, que, insatisfait de la qualité de la conclusion de mon dernier opus confié à la garde de Maître Linux, j’en ai chafouinement annulé la publication programmée, dans l’attente d’une réécriture qui, comme vous l’aurez constaté, tarde un peu à venir.
Tout ça pour dire que je ne vous oublie pas, ô lecteur adoré… Il ne se passe pas un jour sans que mes pensées aillent à vous. Mais bon, voilà : la vie, les priorités, tout ça.
Néanmoins, c’est promis, je vous dédicace mon premier Nobel (ou mon premier né, suivant ce qui se pointe en premier).