Ça vous en bouche un coin, hein?
Non seulement cette page n’a toujours pas été remplacée par un mur de publicité pour durcisseurs génitaux médicamenteux, mais un humain y écrit encore des trucs façons blog, à l’ancienne, comme en 2004.
Oui, j’ai un peu raté mon coup sur le retour après pile-un-an-jour-pour-jour, mais on va pas chipoter non plus.
Dans la plus pure tradition carnetière, je m’abstiendrai d’étayer mes velléités de retour par un billet de la moindre consistance. À la place, on va parler méta, comme disent les jeunes, qui font plus dans l’interweb que dans la philosophie aristotélicienne.
Nommément: l’éternelle (et profondément inintéressante) question du pourquoi.
Car depuis le temps, même le moins attentif des lecteurs (parmi les trois restant qui n’ont pas toujours pas nettoyé leur aggrégateur) aura remarqué l’absence presque surprenante de compte-rendu de soirée-blogueurs sponsorisée par Paic Citron ou de banc d’essai de la dernière crème de jour Palmolive, miraculeusement trouvée dans ma boîte-aux-lettres ce matin. Sans ces essentiels moteurs du génie littéraire, un esprit sensé serait en droit de se demander la raison d’un tel acharnement dans la production de Contenu Sous-Monétisé.