Il y a quelque temps, j’ai soudain décidé qu’il fallait me trouver un nouveau hobby. Peut-être à cause du changement de décennie ? Ou peut-être parce qu’avec la perspective d’habiter à nouveau dans la même ville six ans plus tard, je voulais éviter de m’enfoncer trop facilement dans la routine de mes vieilles habitudes.
J’imagine que c’est comme ça que l’on se met au bingo ou à la broderie à l’approche de la retraite : le jour où on réalise que la demi-bouteille de gin par soir n’est pas un loisir viable sur le long terme, sans même parler de l’aspect social qui laisse souvent à désirer.
Comme je ne suis pas particulièrement doué pour le point de croix, le tambour japonais m’avait semblé une bonne idée.