Où il n'est bien sûr nullement question, ni d'automne, ni de Tokyo…

28 janvier 2006

Pulsions litéraires et meutrières

Posté dans : Plomberie Littéraire, par Dave A. à 3:32

Bon, moi: toujours pas mort. Juste un peu occupé ces derniers temps… Déménagement, acclimatation, études, soudaine tentative de suicide de mon rein droit etc. Mais pas d’inquiétude, la santé va mieux et mon pronostic est bon. Celui de l’occupant de l’appartement jouxtant le mien, en revanche, ne l’est pas du tout. Même si lui ne le sait pas encore. J’ai le pressentiment que quelque chose le guette… Accident de scie sauteuse? Cancer foudroyant de la 22-long-rifle? C’est si vite arrivé ces choses là.

Justement j’avais l’intention de me remettre à ce blog pour de vrai (oui, je sais, j’arrête pas de le dire, mais cette fois-ci c’est la bonne, et d’ailleurs vous remarquerez qu’il y a eu un effort ces derniers temps). Mais la rédaction de mon nouveau billet a sérieusement pâti de la dégradation soudaine de mon environnement sonore accompagnée d’envies d’homicide nocturnes.

Incapable de me concentrer dans ces conditions, je me vois obligé d’en reporter la publication à une date prochaine, mais tenais à vous assurer que dés que j’aurai fait part à mon voisin de quelques brèves considerations acoustico-horaires, des griefs qui s’y rapportent et des risques sanitaires encourus à court-terme par sa personne, je n’aurai de cesse que de reprendre la rédaction de ces pages.

A très bientôt donc…

6 Comments »

  1. On attendra, donc.

    Comment par Shaggoo — 28 janvier 2006 @ 10:36

  2. Zut alors !
    Tu veux dire que si tu avais fait un suicide des deux oreilles au lieu du rein droit, on aurait eu droit à un billet croquignolet ?
    La vie est mal foutue, tout de même !

    Bon courage pour la suite.

    Comment par Fugitive — 28 janvier 2006 @ 2:23

  3. Je tiens à insister à la différence sémantique: le suicide fut entièrement localisé à mon seul organe rénal et n’impliquait en rien la volonté de son propriétaire. Je n’étais guère que l’innocente victime d’un rein désespéré qui avait décidé d’en finir, emmenant avec lui toute sa famille…

    Sinon pour le prochain billet, j’y travaille… je sais pas s’il sera croquignolet, mais il arrive bientôt… et avec lui une cadence nettement améliorée pour les prochains mois, sauf nouvelle tentative…

    Comment par dr Dave — 29 janvier 2006 @ 12:45

  4. Les voisins sont un peu à l’intimité domestique ce que la pédiculose inguinale est à la zone pubienne: ils ne provoquent qu’irritations et plaies variées. Il convient donc de s’en débarasser rapidement lors d’une infestation. Je recommande la menace ferme mais courtoise: « si vous fermez pas votre gueule la nuit, je vous pourris la tête à l’aube ». Le traitement, si vous êtes contraint de le mettre en oeuvre, vous obligera certes à quelques réveils matutinaux mais devrait, en première application, pouvoir éradiquer le mal. Sinon je ne vois plus que le poing dans la gueule.
    A bientôt de vous lire.
    Bricard
    PS: les fils RSS ne fonctionnent toujours pas. Mais c’est pas grave: je viens quand même!

    Comment par Briscard — 31 janvier 2006 @ 6:11

  5. Add to My Yahoo!

    Comment par dr Dave — 31 janvier 2006 @ 6:33

  6. Oh!
    Merci!

    Comment par Briscard — 1 février 2006 @ 10:12

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et ignotas animum dimittit in artes